Je n'ai jamais été attiré dans ma jeunesse de gloutonnerie automobile par AUDI.
Des voitures très laides comme leur cousine la NSU.
Mon ami Thierry Danjou - trop tôt disparu - travaillait dans une concession Audi à Versailles, et il a tout fait pour me séduire, c'est déjà lui qui m'avait vendu ma première Honda Accord.
Ce n'est qu'en 2012, que j'ai timidement franchis le pas avec la petite A1 2,0L de 143 CV.
Un moteur Diesel qui équipait aussi l'A4 et l'A6.
4 Cylindres en ligne, un Turbo et 1968 cm3.
Des jantes de 16 pouces à l'aspect fragile, attention aux trottoirs.
Une honnête consommation: En ville 5,2l et sur route 3,8l.
Un coffre spacieux de 45 Litres.
Une caisse élégante, une finition "Ambition Luxe".
Un équipement bien fourni, c'était le début du système bluetooth dans toutes les nouvelles voitures.
C'est l'une des dernières autos avec lesquelles je suis allé chaque soir au théâtre. 3,95m, maniable et pas trop difficile à garer.
Une boîte manuelle de 6 vitesses.
L'AUDI A1 jouait dans la même cour que la Mini Cooper SD.
J'en garde le souvenir d'une voiture luxueusement feutrée et très nerveuse.
Robert BONNARDOT