J' eu la chance d'avoir les toutes dernières ROVER avant que la marque inaugurée en 1904 soit définitivement mise en faillite en avril 2005.
Le directeur de la Communication était Humbert Carcel, une connaissance encyclopédique du monde automobile, je l'avais connu chez BMW dans les années 70.
Le service de presse était activement dirigé par Anne-Marie Sancho.
C'est une indéniable perte cette société dont on disait jadis qu'elle produisait les modèles les plus fiables avec Rolls Royce.
En 2004, j'ai d'abord eu - très brièvement - la ROVER 25 2,0l DI 200.
Le modèle "City" de la gamme.
4 Cylindres en ligne -
1994 cm3 - 6 CV fiscaux, un moteur Diesel, avec une boîte mécanique de 5 vitesses.
Je n'ai pas gardé grand souvenir de mon court passage au volant de cette petite auto.
J'ai enchaîné avec la ROVER 75 V6, de 2,5L et 177 CV.
Un moteur à essence, un véritable confort, avec un intérieur "So british".
Elle n'avait pas grand chose à envier à la Jaguar, à laquelle elle ressemblait beaucoup.
Et pour terminer, ma préférée la ROVER 75 BREAK TOURER, le même V6 de 2,5L et 177 CV que la berline.
Un moteur à essence et une boîte manuelle de 5 Vitesses.
Je me souviens avoir retrouvé la famille à Deauville, et d'avoir pris beaucoup de plaisir à conduire ce joli break, le long des départementales.
Une voiture chic et élégante, un écran de télévision sur le tableau de bord et une odeur de Cuir qui ne s'oublie pas.
Je suis passé à autre chose, juste avant la fermeture de ROVER, une marque mythique, dont je regrette encore la disparition.
Robert BONNARDOT
1er Juin 2020