L'un des bénéfices de ce confinement, c'est de trouver le temps de la lecture, c'est ce que je n'avais presque pas fait depuis mon hospitalisation, il y a quelques mois.
Je me suis efforcé - très difficilement - de ne pas tout lire d'une seule traite: "IL FAUT SAVOIR PERDRE DE VUE LE RIVAGE" de Sophie MACHOT aux Éditions Eyrolles.
Un thriller romantico-sentimental, avec une véritable énigme dont - bien évidemment - on ne découvre la solution que dans les toutes dernières pages.
C'est captivant, et on a une véritable empathie pour les malheurs de Rose Baron.
(L'auteure a inventé ce personnage en réunissant les patronymes de ses deux grand-mères.)
J'ai connu Sophie MACHOT, il y a une bonne dizaine d'années, elle était alors une Attachée de Presse renommée et très aimée, dans le monde Théâtral.
Elle a déjà publié deux Essais chez le même éditeur: "Cultivez votre Bonheur" et "Même pas Peur".
Je recommande vivement de découvrir son nouvel opus.
J'ai toujours espéré la retrouver dans ses anciennes activités, mais si maintenant elle est en lice pour des Prix Littéraires, il faut que je me fasse une raison...
"On ne découvre pas de terre nouvelle sans consentir à perdre de vue, d'abord et longtemps, tout rivage."
André GIDE (1869-1951)
Robert BONNARDOT
22 Mars 2020