Pendant qu'ils sont en réunion, mon spectacle d'hier soir a été annulé à cause des grèves.
Cet antipathique personnage, grassement payé grâce aux cotisations de bien des naïfs, nous prend en otage.
Il vide les salles de théâtre, de cinéma, les cafés, les restaurants et les hôtels.
Les commerces périclitent et nombre d'employeurs - bien à regret - envisagent le licenciement de collaborateurs qu'ils aiment beaucoup.
Monsieur Martinez, supposé défendre les travailleurs, va créer des chômeurs.
Qui l'a entendu s'inquiéter du réchauffement climatique? Qui l'a vu lancer un mouvement de soutien afin que les femmes aient, bientôt en 2020, le même salaire que les hommes?
Ce fauteur de troubles préfère ergoter pour quelques mois de plus à travailler. C'est lamentable.
Comment ne pas regretter nos belles années.
Philippe Martinez est né en 1961, trop jeune pour que je lui casse la gueule à la récrée...
Rendez-moi "Salut les Copains", les Malabars et le bon vieux temps du Rock N'Roll.
Jeudi 19 Décembre 2019
Robert BONNARDOT